S'approchant de moi celle-ci m'enleva très vite mon serre tête mis en guise de savoir si elle était toujours pareil. Elle m'enleva très rapidement le serre tête avant de s'exclamer : Mais c'est quoi cette atrocité ! Tu me déçois Kim vraiment. Bon, trêve de plaisanterie, il faut que je rentre mes valises, j'ai pas envie que les petites gens me vole mes vêtements. Sinan, moi j'ai envie de me baigner. T'as du champagne sinon, tada ! Ricanant à sa réplique je me recoiffa alors que celle-ci sortie de son sac Louis Vuitton une jolie bouteille de champagne s'ensuivait ensuite deux coupes de champagnes avant de les poser sur la table du salon avant de se changer très rapidement désormais habiller d'un maillot de bain deux pièces de couleur blanc avec des pois multicolores et l'emblème de la marque tant connue nommé Chanel sur un point noir.Lui souriant celle-ci se dirigea vers la piscine ayant encore changer de couleur pour du rose bonbon. Toutes les cinq minutes à peu près la couleur de la piscine changé et ce qui était plus que cool, c'est que il n'y avait que nous qui possédions une piscine gigantesque sachant que nous avions un gigantesque pavillon ayant un minimum de dix chambres et trois étages. On aurait put croire une villa tellement c'était magnifique. Mais il fallait bien cela pour les Billings les plus populaires. Même les cheerleaders bougeant leurs seins pour séduire la gente masculine était logée dans d'affreux pavillon commun aux autres étudiants. Trop commun pour moi. Alors que j'étais dans mes penser Epperly m'y sortit s'exclamant encore une fois : Allez, Kim ! Je t'attends ! Arrivée devant la piscine celle-ci ouvris la jolie bouteille de champagne et se servit une coupe la posant sur le rebord de la piscine qui désormais était remplis d'eau violette. Moi, je me dépêcha de me changer optant pour un maillot de bain deux pièces de couleur violet, s'attachant au cou par une fine ficelle qui se tenait par le signe Chanel de couleur or. Le bas ? Un bas rentrant dans les fesses bien sur sans toute fois opté pour le string. Un bikini quoi. S'attachant par deux ficelles par chaque côté une fois fait, je pris ma coupe de champagne vide et me dirigea vers la jolie bouteille de champagne pour en versé dans mon coupe. Regardant Epperly déjà plongé dans l'eau je l'a suivie alors que l'eau était subtilement bonne. La rejoignant nous trinquâmes alors que j'avalais deux gorgés de ce bon champagne où j'en avais aussi dans notre frigo. Lui souriant une nouvelle fois je lui dis affectueusement : Finalement tu n'as pas changé ! & bien heureusement, je n'aurais pas laissé se sert tête hideux bien longtemps si tu ne me l'avais pas enlevée Babe. Sinon il est succulent ton champagne j'en ai minimum dix dans le frigo mais j'en ai encore plein dans la cave. Sinon sinon, tu sais que nous ne serons pas seules ? Ils devraient avoir tous les Billings ici. Tu aurais dut le deviné Easton ne voulait pas que les Billings soient séparés. Soupirant, je sortie de la piscine, partant dans le pavillon bidouillant sur des boutons relias à la piscine pour que celle-ci puisse faire des bulles tels un jacuzzi. Et oui il s'avérait que la piscine que Easton nous avaient offert était muni d'un jacuzzi automatiquement intégré qui serait très utiles les jours de fêtes. Où alors les jours où les parties de jambes en l'air sont d'actualité. Rejoignant ma consoeur le sourire au lèvre, interroger de savoir si celle-ci avait eut des conquêtes intéressantes lui demanda d'un ton interrogatif : Dis moi Mlle Anderson, pendant les vacances tu as eut des conquêtes digne de ce nom ? Des mecs qui t'ont appris des nouvelles positions ? Ou des partouzes en tout genre ? En ce qui concernait nos débats sexuels nous étions très libres, et nous étions fiers d'affirmer que l'on avait pris notre pied avec certain mec et que l'on avait dut simuler pour d'autres mecs qui n'avaient pas sut faire l'affaire. Nous étions les filles à qui il ne fallait pas défier. Un duo de choc impériale à qui il ne faut jamais faire de mauvais coups pour ne pas tomber dans les beaux pièges de notre duos de choc. Jamais l'une sans l'autre nous faisons les quatre-cents coups ensembles que ce soit en cours ou pendant les fêtes nous sommes tous le temps ensemble à part quand nous deux partons en voyage en Europe habituellement. Mais nous gardons tout de même contact par l'ordinateur ou bien encore par téléphone ou nous passons des heures à discuter. Notre forfait ? Illimité bien sur, que deviendrons nous sinon ? Attendant sa réponse patiemment je finissais très vite ma coupe de champagne que je remplis une nouvelle fois.